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Comment Dieu attend-Il que nous fassions toutes choses ?

9 de mai 2025

Comment Dieu attend-Il que nous fassions toutes choses ?

Tous ceux qui fréquentent le Centre d’Accueil Universel — qu’ils soient membres, évangélistes, ouvriers(ères), évêques, pasteurs ou épouses — du plus nouveau au plus ancien, doivent réfléchir aux versets ci-dessous pour développer une conscience de foi intelligente :

« Tout ce que vous faites, faites-le de bon coeur, comme pour le Seigneur et non pour des hommes, sachant que vous recevrez du Seigneur l’héritage pour récompense. Servez Christ, le Seigneur. Car celui qui agit injustement recevra selon son injustice, et il n’y a point d’acception de personnes. »
Colossiens 3:23–25

« Tout ce que vous faites… » signifie TOUT : Depuis les tâches ménagères, les devoirs professionnels, les obligations civiles, les services bénévoles dans l’un des Groupes de l’Église, les chaînes de prière, les propos, les offrandes spontanées, les vœux, les services pour l’Œuvre de Dieu, jusqu’aux activités à l’intérieur ou à l’extérieur de l’Église, que ce soit pour des proches ou des inconnus. En résumé : TOUTES nos actions.

« …faites-le de bon coeur… » Nous devons tout faire avec une intention pure, sans rien attendre en retour — ni reconnaissance, ni récompense, ni applaudissements, ni éloges.
Faire quelque chose de bon cœur, c’est agir sincèrement, avec un esprit disposé, la joie, la foi et confiance en sachant que Dieu voit tout et qu’Il nous récompensera.

« …comme pour le Seigneur et non pour des hommes… » Lorsque nous faisons les choses comme si c’était pour Dieu, plusieurs bénédictions en découlent :

  • Nous avons sécurité et tranquillité. Même si nous ne savons pas faire quelque chose car nous manquons d’expérience, de connaissances, ou de formation, nous avons la certitude que Dieu nous instruira. Il est là pour nous soutenir, non pour nous juger. L’inverse se produit chez ceux qui ne croient pas être sous le soin de Dieu : la peur, l’inquiétude, et la nervosité surgissent.
  • Nous ne dépendons pas de l’approbation des autres pour être motivés. La conscience de servir Dieu nous suffit pour rester ferme. Ceux qui recherchent la reconnaissance humaine vivent démotivés et affaiblis.
  • Nous n’avons pas besoin d’être félicités et ne sommes pas blessés si ce n’est pas le cas. Même si nos proches, amis ou collègues ne remarquent pas nos efforts, cela ne nous attriste pas, car nous savons que c’est pour Dieu. Ceux qui attendent l’approbation des hommes sont souvent frustrés et rancuniers.
  • Nous ressentons de la joie, de la paix et de la satisfaction, car notre Créateur reçoit l’expression de notre amour, fidélité, joie et gratitude. C’est Lui qui nous a donné la sagesse, la santé et les talents.
  • Nous ne faisons pas d’acception de personnes. Nous regardons notre prochain avec foi, amour, comme si nous servions Dieu Lui-même. Cela nous pousse à agir avec excellence et dévouement, faisant attention aux détails — à l’image de Daniel, qui s’est distingué dans une nation contraire aux coutumes de sa foi, grâce à son esprit excellent et à sa façon de faire tout de la meilleure manière possible.

« …sachant que vous recevrez du Seigneur l’héritage pour récompense. » Notre récompense vient de Dieu. Elle est meilleure et plus grande que toute récompense humaine. Elle ne se détériore pas avec le temps, et personne ne peut nous la retirer. C’est un héritage paternel éternel.

« …Servez Christ, le Seigneur. » Quand nous gardons cette conscience, nous mettons le Seigneur Jésus en premier dans notre vie. Nous L’honorons à la maison, à l’église, au travail, à l’université — partout, et pas seulement dans un environnement religieux favorable, chrétien ou religieux.

« Car celui qui agit injustement recevra selon son injustice… » Celui qui agit à l’inverse de ce que Dieu demande devient injuste et égoïste, car il méprise les dons que Dieu lui a confiés pour L’honorer.
Il récolte ce qu’il a semé : frustration due au manque de reconnaissance humaine, amertume et conséquences d’avoir voulu plaire aux hommes plutôt qu’à Dieu.

« …et il n’y a point d’acception de personnes. » Peu importe le titre religieux ou la position sociale : rien ne nous épargnera des conséquences si nous ne faisons pas toutes choses pour Dieu.

Nous nous verrons au CAU ou dans les Nuages !
Évêque Júlio Freitas